En suivant l'hypothèse de William Ruddiman selon laquelle les changements climatiques d'origine humaine ont pu débuter avec le néolithique nous avons découvert que lors des dix derniers milliers d'années, les pertes totales de carbone des écosystèmes terrestres sont 3 à 10 fois supérieures aux quantités de carbone émis par la combustion d'énergies fossiles.
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