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Dans les grandes forêts, des chemins clairement délimités pourront permettre d’y circuler. |
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Normalement, après deux ou trois ans, nos forêts ne devront plus demander d’entretien. Cependant, dans le sud du pays, compte tenu de l’aridité, continuer à arroser raisonnablement n’est pas exclu, surtout si nous plantons des haies denses pour rafraîchir des ICU (îlots de chaleur urbains). C'est l'évapotranspiration des végétaux qui leur permet de refroidir si efficacement la température de l'air, à condition de ne pas manquer d'eau... |
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D’autre part, si dans certains lieux faire renaître des forêts « primaires » peut-être envisagé et pertinent, en d’autres lieux il sera plus judicieux d’opter pour des espèces pouvant venir d’ailleurs. Exemples : - haie à croissance rapide pour protéger les enfants de la Maurelette de la pollution de l’autoroute qui jouxte leur école - forêts urbaines pour lutter contre les ICU |
Planter des arbres mais aussi des valeurs | |
Planter une “forêt sanctuaire” riche en biodiversité, c’est participer à une action dont nous sommes collectivement les bénéficiaires. C’est une activité tournée vers le futur et le long terme. C’est aussi une activité qui redonne une place aux non-humains.
- Circonscrire nos actions, afin de ne pas rentrer dans une concurrence déloyale avec les pépiniéristes professionnels. - Assurer un salaire décent à ceux qui s'engageront à mi ou plein temps dans des activités de reforestation. - Favoriser autant que possible, sur chaque territoire, les projets d'acteurs locaux.
Le cadre de nos forêts sanctuaires étant fixé, il est temps de passer à l'action ! |